Championnats d'Europe 2004

FAI Opens in France available for registration

2024-06-26 to 2024-06-29 : Millau Open - Natural Games

Championnat d'Europe de parapente - fin de l'épreuve - bilan

Après la journée noire de samedi, plus aucune manche n'a été lancée. Depuis lundi, la météo s'est détériorée avec l'arrivée d'un flux de sud perturbé. Le Championnat d'Europe se termine donc avec un total de cinq manches courues sur onze possibles, ce qui est un ratio correct. Les manches lancées ont été adaptées et intéressantes. La présence de Xavier Murillo venu prêter main forte à l'organisation a garanti un déroulement beaucoup plus fluide de l'épreuve. Le podium masculin est a la foi logique est surprenant : Sur la première marche le jeune mais déjà redoutable Suisse Christian MAURER est sacré Champion d'Europe. Il vole sous un prototype Advance dont la forme rappelle celle d'un kite. A la seconde place nous trouvons le très expérimenté britannique Bruce GOLDSMITH (Airwave). Deux ex aequo complète le podium : le tchèque Thomas BRAUNER (Mac Para) et surtout le très inattendu belge Philippe BRAUERS sous une remarquable voile de conception française : la U3 d'Aircross. Chez les femmes la Championne du Monde Petra KRAUSOVA (Rep. Thèque - Mac Para) précède une nouvelle très forte pilote : Ewa WISNIERSKA CIESLEWICZ (Allemagne - Advance) et notre Caroline BRILLE (Advance). Bien qu'aillant déjà atteint la médaille d'argent d'un Championnat d'Europe dans le passé, Caroline réalise cette foi-ci sa meilleure performance absolue dans une épreuve de ce type. Portée par son expérience, elle a volé à un niveau nouveau pour elle, indispensable aujourd'hui pour prétendre monter sur ce type de podium. A l'image des meilleurs hommes, c'est un véritable duel de technique et d'endurance que se livre aujourd'hui les filles, s'intercalant de plus en plus souvent dans les premières parties de course. Par nation, une semi surprise arrive par la présence des Italien à la première place. Certes une erreur d'Alex HOFFER (en période de doute) à la dernière manche leur permet de prendre la tête sur les archis favoris Suisses, mais la composition de l'équipe Italienne remplie d'ancien pilote très expérimenté (PACHER double champion d'Europe, ancien Vainqueur de la Coupe du Monde ; Luca DONINI, ancien Champion du Monde ; mais aussi Christian BIASI et le nouveau très imposant ZAMMARCHI, Paolo (un des leader de l'actuelle Coupe du Monde) laissait présager une grande efficacité. Les suisses sont déçu de cette médaille d'argent mais leur équipe très renouvelée a pourtant tenu ses promesses : lorsque les meilleurs échouent, cette nation conserve la capacité de leur trouver immédiatement des remplaçants. Enfin la médaille de Bronze échappe à une autre équipe favorite : l'Allemagne. Ce sont les Tchèques, en plein boum qui s'imposent après avoir été décrochés de la première occupée en début de Championnat. Cette nation avait montré des signes d'émergence depuis un moment a l'image de leurs deux leaders : Thomas BRAUNER et Martin ORLIK très efficaces en Coupe du Monde. Alors quelle place aujourd'hui pour la France ? Et bien une cinquième, à laquelle nous commençons à nous abonner depuis quelques championnats. Si ce rang n'est bien sûr pas satisfaisant pour une nation qui à été capable de décrocher des médaille dans le passé, il est néanmoins logique, compte tenu de la réalité actuelle de la hiérarchie mondiale. Pas de manque d'ambition pour la France : simplement nous persévérons dans notre effort de reconstruction et de formation de nouveaux pilotes. Nous voulons aujourd'hui être réaliste et monter les marches dans l'ordre. Bien sûr il n'est pas question de se montrer satisfait de cette cinquième place, mais nous relativisons ce rang au regard du fait que notre équipe est aujourd'hui largement la plus jeune parmi celles qui ont l'ambition de gagner. La moitié de notre effectif n'avait aucune expérience de ce type d'épreuve. Des jeunes comme Julien IRILLI où Elisa HOUDRY n'ont qu'une ou deux épreuve de Coupe du Monde derrière eux. David CHAUMET a fait son arrivée au plus haut niveau français en cours d'année et vivait ici sa première compétition internationale en parapente. Cela est à replacer dans le contexte de notre concurrence où une forte proportion des pilotes étrangers cumule parfois jusqu'a plus de dix ans d'expérience internationale. La réalité est que nous faisons aujourd'hui mûrir des fruits pendant que certains de nos principaux concurrents récoltent les leurs. L'épreuve a été marquée par un accident mortel. Cet épisode dramatique nous rappelle aux réalités d'une activité qui comporte des risques qu'il faut sans cesse s'efforcer de faire reculer. Je ne peux pour ma part concevoir mon rôle de chef d'équipe que parce que je sais que le risque est maîtrisable. J'exige aujourd'hui de nos pilotes qu'ils prennent le recul nécessaire par rapport à la prise de risque en développant une attitude cohérente par rapport à leur degrés d'engagement : savoir discerner finement quels sont les risques subjectifs (être dans une zone turbulente mais avec suffisamment de hauteur) et les risques objectifs (forcer un passage sous le vent) fait partie intégrante de leur formation. Des décisions de placement adéquates, utiliser à bon escient la vitesse de sa voile en fonction de la proximité du relief, finir ses pleins, accepter des détours pour éviter certaines zones délicates, communiquer sur la force des conditions pour conseiller l'annulation aux responsables de l'épreuve, pouvoir développer un pilotage adapté en toute circonstance : voici les ressources dont nous disposons. Willy impacte sans dommage lors du sprint d'une des première manche : il volait complètement détrimé à moins de 20m sol, c'est une erreur technique inacceptable, il a eu tout loisir de l'entendre. Nous voici de retour avec un certain résultat, dans les classement et dans ce que j'ai pu voir développé par l'équipe. Après un dernier voyage la semaine prochaine au Mexique pour la finale de la Coupe du Monde, je prendrai le temps de revenir sur cette fin de saison afin de dresser un bilan et de préparer l'équipe qui représentera la FFVL et France au Championnat du Monde 2005 (Brésil). Je vous donne rendez-vous en mars pour cette épreuve. A bientôt Fred ESCRIBA

Championnat d'Europe de parapente - Manche 5

Une dure journée. Les conditions s'annonçaient correcte pour cette nouvelle manche de 80km. Le tracé nous faisait suivre un triangle aux branches déjà classique au sud de Kalavrita. Après un start difficile en raison d'une relative stabilité, les concurrents se sont trouvés confronté à un passage très turbulent dans une zone connue comme telle. L'ampleur des brises thermiques a surprit tout le monde. La non anticipation de cette difficulté a entraîné un drame : la chute sévère d'un concurrent Espagnol. Les français ne se sont pas désunis et on plutôt mieux négocié l'âpreté de ce passage. La majorité sont passés assez haut pour éviter la zone la plus sous le vent et on pu de ce fait occuper une position dominante pour la suite. Néanmoins, d'autres a l'image de Julien ou Stéphane on perdu la tête de course car, plus bas, ils ont souhaité éviter de se jeter aveuglément derrière la crêtes la plus incertaines. Je considère ce choix comme responsable et je soutiens a 100%. Après une fin de manche délicate en raison de la détérioration rapide des conditions thermiques et d'une entrée d'air maritime, seul un petit groupe de pilote parviendra à rentrer au but. Parmi eux William Mark et Jean-Marc Caron respectivement à la deuxième et troisième place. Une nouvelle dramatique nous parvient en fin d'après midi, le pilote espagnol est décédé. L'ambiance est lourde et la manche de dimanche n'aura pas lieu.

Championnat d'Europe de parapente - Manche 4

Le retour des bonnes conditions permet le lancement d'une nouvelle manche. C'est un aller retour de 67 km qui est proposé aux pilotes. Un léger vent de nord persiste en altitude mais il ne pose pas de problème particulier. A nouveau la manche s'avère très rapide. Après la phase d'étirement du peloton jusqu'à la première balise (environ 30km) la course s'anime avec des tentatives d'échappée en cheminement. Jean-Marc Caron fait partie des pilotes qui attaquent aux avants poste. Néanmoins ces attaques ne portent pas leur fruit et ce sont au contraire quelques options de placement dans la deuxième partie du vol, et malheureusement le forçage d'un passage d'une crête ventée qui déterminent l'ordre d'arrivée. Julien Irilli et David Chaumet ne passe pas cette crête a la première tentative et perdent de précieuses minutes à remonter. Jean-Marc, Willy et Stéphane sont les premiers français au but, assez près des premiers en temps, mais éloignés en place. Max s'arrête pour porter secours à un pilote en difficulté et recevra une compensation en point. Caroline rate son début de manche et se trouve très en retard a mis manche. Très en forme, elle concrétise une option intéressante qui lui permet de recoller au deuxième groupe et de gommer un retard qui était monté a plus de 10km. Cette performance lui permet de remonter à la troisième place du classement féminin. Elisa vit une journée de calvaire : déjà un peu malade sur le décollage, son état s'aggrave au grés des heures. Fiévreuse elle est rapidement été lâchée par la course. Je la récupère somnolente a côté de sa voile. Il est probable qu'elle ne pourra pas voler aujourd'hui. Au classement des nations, nous sommes désormais talonnés par l'Autriche mais je suis confiant en une réaction d'orgueil de nos pilotes : ce sont les places de devant que nous comptons conquérir même si nous savons que la tache est ardue.

Championnat d'Europe Parapente J4, J5, J6, début du J7

Le vent nous cloué au sol depuis déjà trois jours. Comme le dit Elisa : 'Ici c'est ON / OFF quant cela vole, c'est extraordinaire, quand les journée démarrent mal, elle ne s'améliorent pas et rien n'est envisageable'. L'organisation tente aujourd'hui de déjouer cette idée : le vent est tombé, mais le ciel est gris. Nous avons un nouveau rendez-vous a midi pour évaluer si la météo ne s'améliore pas en cours de journée.

Championnat d'Europe de parapente - jours 4 et 5

Un changement marqué du temps s'est dessiné : nous vivons aujourd'hui mardi la deuxième annulation de manche pour cause de vent fort (jours 4 et 5). Les résultats des manches :manche 1 manche 2 manche 3 Femmes :manche 1 manche 2 manche 3 Le général :http://www.hellenic-paragliding.gr/euro/results/overall.pdfGénéral féminin :http://www.hellenic-paragliding.gr/euro/results/overall-w.pdfGénéral nation :http://www.hellenic-paragliding.gr/euro/results/nation.pdf

Championnat d'Europe de parapente - manche 3

William s'est sorti sans une égratignure de sa chute. La veille après qu'il ait contrôlé les réaction de sa voile, il s'était retrouvé la tête en bas dans un massif épineux, suspente fine emmaillée dans les kékés. Immédiatement après avoir passé la ligne d'arrivée, Julien, Max et Steph avaient fait demis tour pour lui porter secours dans la montagne quelques minutes après les faits. Posés avec lui, ils ont rapidement extrait la voile et trouvé un décollage pour rentrer ensemble.Manche 3Une troisième manche s'enchaîne. Le ciel est le plus favorable que nous ayons eu jusqu'alors. Nos pilotes sont bien entrés dans le rythme de ces journées longues et remplies.Vu les conditions attendue, le directeur d'épreuve secondé par Xavier Murillo augmente d'un bon tiers la quantité habituelle de km et nous propose un parcours de 90km avec une dernière branche de 45km orientée au sud vers une zone que nous ne connaissons pas encore. La structure du début de manche, elle reste la même que la veille. Nous savons que cela va être très rapide. Je demande aux pilote de tout faire pour être aux avants poste. Comme prévu la course démarre en trombe en appuy sur le deuxième barreau d'accélérateur.Dans les vingt premiers kilomètres de fines différences de trajectoire en transition étirent un peu la grappe et commence à définir le premier, deuxième et troisième groupe. Willy est le seul à accrocher le meilleur groupe après 30km. De retour dans la zone sud de Kalavrita après 1h de vol, les écarts entre les trois groupes sont encore très faibles. Tous nos pilotes masculins sont dans le premier et deuxième groupe séparés de quelques centaines de mètres. Arrivés a B2 le deuxième groupe perd pied face au premier en raison d'un hors cycle. Malgré une sortie décoiffante, vario tout noir dans une zone protégée du vent, un groupe de 15 pilotes a pris le large en cheminement. Willy est avec eux mais casse son système d'accélérateur à force d'être pendu dessus : c'est une sangle poulie de l'élévateur qui rompt. Dès lors ils n'arrive plus à suivre dans les mêmes conditions et se retrouve isolé.Au sol je peine à garder le contact avec les pilotes qui sont désormais vent arrière et qui ne tournent presque plus.Comme chaque jour, l'apogée des conditions a lieu en début d'après midi. Une série de cumulus large et actif permet aux premiers de surfer vers le goal sans aucune perte de temps.Derrière, une série de hors cycle et des étalement nuageux ont plongé le reste de la course dans la difficulté. Les pilotes avancent mais au prix d'un travail de montée beaucoup plus important.Lorsque j'arrive au but, dix pilotes sont déjà posé : Pacher (Italie) ; les deux Tchèques en état de Grâce, deux autre Italiens, deux Suisses, Bruce Goldsmith (GB) et l'étonnant Philippe Broers (Belgique) qui a pour l'instant bouclé toute les manches parmi les meilleurs sous sa remarquable AIRCROSS U3 (voile de conception française qui est a l'évidence au top de la performance aujourd'hui).Plus personne n'arrivera au but avant presque une heure. Une entrée de vent d'est insignifiante pour les premiers s'est transformée en un mur de béton pour les suivants.Au sol je tente de trouver la solution au casse tête par radio avec les nôtres. Julien IRILLI arrive parmi les premiers de la seconde vague. Il échoue à 500m du but malgré un plein énorme. Jean-Marc CARON assure aussi une altitude maximum et empreinte la meilleure trajectoire possible, le vent se renforce et il est a 1km du but, totalement impuissant.C'est une hécatombe aléatoire qui démarre, les pilotes se vachent par dizaines alors que parfois une accalmie permet miraculeusement à un ou deux de franchir la ligne. Nous ne relâchons pas l'affaire car il nous faut absolument des pilotes au but. David et Max nos deux dernières cartouches sont en stand by depuis un moment collé au nuage d'une énorme confluence, il y a longtemps que nous ne cherchons plus à jouer la manche au temps. Ils se lancent à leur tour selon une nouvelle trajectoire et finissent très difficilement par rentrer sauvant ce qu'il y à sauver. Elisa s'est aussi battue comme il le fallait et termine à une distance honorable.

Championnt d'Europe de parapente - Manche 2

Bien que le décollage et la zone de KALAVRITA ait été soumise à du vent de nord, une manche de 61,5km vers le sud a pu être lancée.Après le start, confrontés a de très bonnes condition, la course s'est rapidement animée et le rythme de vol était très important. Toutes les transitions étaient effectuées au deuxième barreau d'accélérateur.Peut d'échappée jusqu'à mis parcours même si le pelotons s'étire quelque peu. Nos filles peines à suivre la vitesse de la tête de course. Elisa munie d'une voile grand tourisme ne peut s'accrocher et se retrouve en difficulté dans un « trou » duquel elle mettra plusieurs heures à sortir. Devant les notre s'accrochent. William réalise une série de bon déplacement qui le placent en position favorable pour le sprint final. L'ensemble de nos autres pilotes se situent dans un deuxième groupe très proche du premier. Le dernier plané consiste à quitter une zone favorable de confluence pour passer au raz d'une montagne formant un obstacle. La ligne d'arrivée se situant au pied du relief, le passage su sommet est la clef car la ligne est alors automatiquement atteinte.Parmi les plus haut et les plus en avant, William décide de partir a 6 de finesse. Alex HOFFER fait de même avec 400m de moins. Notre pilote déclenche le sprint final en compagnie de deux Tchèques. Poussés jusqu'alors, les pilotes rencontrent désormais une masse d'air défavorable qui forme un mur sur le dernier relief. Les premiers pilotes glissent verticalement et ne parviennent a passer que très bas sur le relief. Les Tchèques passent a quelques mètres au dessus des buis. William force aussi le passage il vas vraisemblablement être 4ème. Il pleine vitesse, il subit une fermeture de 60% à 20m sol, garde le contrôle cap de sa voile mais impacte tout de même. Aucune conséquence physique pour William et aucun accroc pour sa voile.Les Tchèques Thomas BRAUNER et Martin ORLIK cassent la baraque. David CHAUMET fait une très bonne course Stéphane ANDRE, Max JEANPIERRE et Julien IRILLI ne sont pas loin non plus. Jean-Marc est avec eux mais une erreur d'appréciation lui fait faire demi tour au moment clef, ce qui explique son retour au but finalement tardif. Immédiatement après la rentrée des premiers grappes, les conditions changent radicalement : les journées de vol bien que longue pour le moi d'octobre dans l'hémisphère nord ont une tendance à se détériorer en milieu d'après midi. Nous l'avions prévu et cela se confirme. Il n'était alors plus possible d'utiliser la même trajectoire pour rentrer. Caroline le vérifie a ses dépends et échoue avec son groupe à survoler le dernier relief car la confluence a disparue et le ciel est définitivement bleu. Après beaucoup d'effort, encore une heure et demis de vol, une remontée d'une gorge face au vent et finalement l'exploitation de la restitution elle parviendra a rentrer au but avec quatre autres concurrents.

Manche 2

  • 1 ORLIK (Rep. Tcheque) 1000
  • 2 BRAUNER (Rep. Tcheque) 991
  • 3 VECERA (Slovénie) 983
  • 14 CHAUMET
  • 19 ANDRE
  • 20 JEANPIERRE
  • 25 IRILLI
  • 55 CARON
  • 71 BRILLE
  • 77 MARKT …. :(
  • 96 HOUDRY140 pilotes engagés dans l'épreuve
  • Classement par nation :

  • 1 Rep. Tchèque 5636
  • 2 Suisse 5559
  • 3 Italie 5542
  • 4 Allemagne 5438
  • 5 France 5162
  • 6 Autriche 4996
  • 7 Espagne 4712
  • 8 Grande Bretagne 463026 nations engagées dans l'épreuve
  • Première manche : conditions excellentes, performances moyennes

    Arrivés avant toutes les autres équipes, nous n'avons pu nous entraîner qu'une journée car le vent était trop fort. Néanmoins le seul parcours que nous avons pu faire nous a permis de visualiser correctement la zone de vol avant l'épreuve.Hier a eu lieu la première manche dans des conditions aérologiques très favorables.Il s'agissait d'un parcours triangulaire d'environ 60km au sud de KALAVRITA.Après un début de vol assez neutre où comme à l'habitude sur ce type d'épreuve, personne ne voulait prendre l'initiative, la course s'est fortement accélérée sur la deuxième moitié du parcours, après que les pilotes aient mesuré l'excellence des conditions.D'un déplacement en grappe, la course a évolué vers du cheminement pour finalement aboutir a un sprint final assez risqué face a la brise de mer (l'atterrissage de KALAVRITA se situe a quelques kilomètres du canal de Corinthe).La prise de risque élevée des premiers s'avère payante.Les français rentrent à des rangs moyens à l'exception de Julien IRILLI qui échoue à mis parcours.

  • Jean-Marc CARON 19 / 859 pts
  • Stephane ANDRE 24 / 826 pts
  • David CHAUMET 29 / 788 pts
  • William MARKT 38 / 729 pts
  • Caroline BRILLE 46 / 703 pts / 3ème femme
  • Max JEANPIERRE 48 / 696 pts
  • Julien IRILLI 93 / 282 pts
  • Elisa HOUDRY 78 / 578 / 5ème femme Tous les résultats à l'adresse : www.europaragliding.net
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